24 Hours in a Diaper at Work – My Full Experience

24 heures en couche au travail – Mon expérience complète

Salut tout le monde…
Aujourd'hui, je commence quelque chose que je n'ai jamais fait auparavant. Quelque chose qui, honnêtement, me fait un peu peur…

Je vais passer 24 heures entières en couche au travail.

Oui… ça veut dire pas de toilettes du tout. Pas de pauses surprises. Pas d'exceptions. Juste moi, mon travail habituel… et une couche sur laquelle je vais devoir compter entièrement.

Préparation du matin

Se réveiller avec des nerfs

Alors, la journée commence tôt.
Je me réveille avec ce petit nœud dans l'estomac, sachant ce qui m'attend.

Se préparer

Je vais à la salle de bain, non pas pour aller aux toilettes, mais pour me préparer. Prendre une douche, me brosser les dents, me coiffer… tout ce qu'il y a de plus normal. Sauf qu'aujourd'hui, je fixe la couche qui m'attend sur le comptoir.

Je prends une grande inspiration, je le déplie lentement et je l'enfile. Dès que je le ferme avec du ruban adhésif, je me sens déjà plus consciente de mon corps.

Choisir la bonne tenue

Je prends quelques minutes supplémentaires pour choisir ma tenue. Une tenue professionnelle, mais aussi sûre. Ni trop moulante, ni trop transparente.

Je me regarde dans le miroir sous tous les angles : de face, de profil, de dos. Pendant une seconde, je me persuade presque que c'est évident… mais ensuite, je vois que c'est parfaitement normal.

Toujours paranoïaque, j'emporte une couche de rechange dans mon sac, au cas où. Une couche, 24 heures, c'est la règle.

Le trajet

Marcher jusqu'au métro

Je quitte mon appartement et me dirige vers les rues de Paris. Normalement, c'est la routine, mais aujourd'hui, chaque pas me paraît plus lourd.

À l'intérieur du train

Le métro est bondé. Épaule contre épaule. Je m'agrippe au bar et essaie d'avoir l'air normal, mais je n'arrive pas à penser : et si c'était le moment de partir ?

Un siège s'ouvre. Je m'assois. Le rembourrage se comprime, me rappelant mon secret.

Une partie de moi a envie de le tester sur-le-champ, mais j'attends. Trop risqué.

Au bureau

Premiers pas à l'intérieur

J'arrive au bureau. Des collègues discutent, les machines à café bourdonnent : tout semble identique. Mais sous ma jupe, il y a un secret que personne ne connaît.

La première rencontre

À 10 h, nous nous retrouvons dans la salle de conférence. Chiffres, échéances, stratégie… mais je ne ressens qu'une pression croissante dans ma vessie.

Je bouge, ferme les yeux et lâche prise. La chaleur se répand instantanément. La couche gonfle. Personne ne le remarque.

À l’intérieur, je ressens du soulagement et une étrange fierté.

Déjeuner entre collègues

Le défi de manger au restaurant

À midi, des collègues proposent d'aller déjeuner au restaurant. Mon cœur bat la chamade. Au restaurant ? Près les uns des autres ? Risqué.

Pourtant, je les rejoins. À l'extérieur, blazer droit, jupe impeccable. À l'intérieur, une couche trempée cachée.

Mouillage à table

À mi-chemin du repas, l'envie me prend à nouveau. Je décide de relever le défi.

Pendant qu'un collègue raconte une histoire, je lâche prise. La chaleur m'envahit à nouveau. Personne ne remarque. Personne ne soupçonne.

Le soulagement se mêle à l'adrénaline. Je sirote mon Coca, je ris avec le groupe et je porte en moi mon plus lourd secret.

Le long après-midi

De retour au bureau

En milieu d'après-midi, la couche est gonflée, affaissée, chaude. Chaque mouvement me rappelle qu'elle est là.

Les e-mails, les feuilles de calcul et les petites conversations semblent surréalistes lorsque vous cachez quelque chose d'aussi gros sous votre jupe.

Une autre version

Prendre un café après le déjeuner était une erreur. La pression monte à nouveau. Je lâche prise. Cette fois, la couche repousse – presque trop pleine.

Mais toujours… pas de fuite. Pas de tache. Pas d’odeur.

Le plus dur est d'agir normalement avec des collègues à proximité. Aller jusqu'à l'imprimante me paraît dangereux. Je me dandine légèrement, priant pour que personne ne le remarque.

Trajet en soirée

Quitter le travail

À 18 h, je quitte le bureau, épuisé, soulagé, fier. J'ai survécu à ma journée de travail.

Mais le défi de porter une couche au bureau n'est pas terminé. Le métro est bondé, ma couche est trempée, et soudain… je ressens une nouvelle pression.

L'accident sur le chemin du retour

En marchant dans les rues parisiennes le soir, je lutte. Je serre les poings, je me dépêche. Mais soudain… je n'y arrive plus.

Je lâche prise. Doucement d'abord, puis complètement. Chaleur, épaisseur, moelleux. Ma couche est sale maintenant. Lourde, affaissée, secrète.

Les gens passent devant moi, inconscients. Pour eux, ce n'est qu'une nuit comme les autres. Pour moi, c'est la fin de mon défi de 24 heures.

De retour à la maison

J'arrive enfin à mon appartement. Je ferme la porte. Je ris en tremblant.

J'y suis parvenu. 24 heures, pas de toilettes, une seule couche. De la routine matinale nerveuse aux réunions, au déjeuner, au métro… et enfin, cette fin lourde et salissante.

C'était facile ? Non.
Était-ce libérateur ? Étrangement… oui.

Réflexions finales

Alors oui… c’était mes 24 heures complètes en couche au travail.

C'était intense. Stressant. Mais aussi excitant, comme porter un secret que personne ne pourrait jamais deviner.

Et maintenant, je veux avoir de vos nouvelles :

  • Avez-vous déjà porté une couche au travail ?

  • Qu’est-ce qui vous ferait le plus peur : une fuite, du bruit ou vous faire prendre ?

Dites-le-moi dans les commentaires. Et si vous avez aimé cette histoire, vous pouvez visiter ma boutique ABDL Hypnose :)

Essaieriez- vous de rester 24 heures en couche à votre travail ?

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